Fontbrune

Synopsis :

    XIXème siècle, Périgord. Adeline Gonthier mène une vie sans entorse au sein de sa famille campagnarde, dans la grande demeure de Fontbrune. Orpheline, elle sait très tôt se débrouiller par elle-même et n'a pas froid aux yeux. A 16 ans, curieuse de connaître l'amour charnel, elle se laisse aller dans les bras de son cousin Pierre, homme brute et sale peu ragoutant selon moi ! Elle ne ressent aucun remors à prendre plaisir avec lui dans la maison même de sa cousine (épouse de ce dernier, donc) et des enfants du ménage !

    Ce n'est cependant pas Pierre qui bénéficiera longtemps des faveurs de la belle. Celle-ci en effet est employée à Puynègre pour garder et occuper les enfants. Puynègre est un somptueux château dont le maître est un grand général, fervent serviteur de l'empereur Napoléon Ier. Il a l'âge d'être son père mais qu'importe, bientôt elle n'a d'yeux que pour lui.

    Un beau jour, notre général lui demande sa main sans préambule. C'est que bien sûr, lui aussi se mourait d'amour pour elle en secret...! Voici donc Adeline à la tête d'une grande richesse et d'une belle demeure. Mais plus que tout, c'est le général qui lui importe, avec qui elle va vivre une passion dont les années n'aténueront pas la force. Elle continue donc à mener une vie paisible et sans remous, entre son mari et les deux grands enfants de celui-ci, Pauline et Guillaume (qui ne semble pas indifférent aux charmes de belle-maman).

    Jusqu'au jour où ce fameux général, à 57 ans, meurt à la suite d'une chute de cheval. Alors Adeline se retrouve seule avec sa demeure et ses pleurs, mais s'en consolera vite, peut-être avec Guillaume ?!


Commentaire :

    Mouais... j'ai eu beaucoup de mal à rentrer dans l'ambiance et je n'accroche pas tellement avec Adeline (ça me fait bizarre de dire ça, elle a le même prénom que moi !). Certes elle a du caractère, mais elle manque de délicatesse et surtout, elle n'a vraiment aucun scrupule ! L'histoire est lente, finalement il ne se passe pas grand chose. A mon sens, même si ça se laisse lire, on est loin du chef-d'oeuvre.